La plus libérée: "Sex and the city" inspiré de Candace Bushnell
Elle a la trentaine, son job consiste à décrypter les aléas de la vie des new-yorkaises, son dada? Les chaussures Manolo Blanhik.
Je vous présente Carrie Bradshaw, la narratrice télévisuelle de Sex and the city, série qui a explosé les tabous qui enchaînaient les femmes.
Dans la série télévisée, les héroïnes prennent le droit de vivre leur sexualité sans honte et sans reproche et ces quatre princesses nous distillent une mine d’informations sur des sujets les plus audacieux. L'argent ne compte pas ou très peu, elles sortent, séduisent les hommes mais leur coeur n’en est pas moins tendre et fragile. Paillettes, sexe, Amour et dérision: un cocktail sur-vitaminé recommandé les jours de grisaille
Le roman est plus cacophonique et décousu.
Les personnages sont foisonnants - trop - ce qui nous empêche de nous y attacher ta
ndis que la série opère un zoom sur Carrie - qui n'est pas la même que dans le livre.
Une adaptation reste une adaptation! Et sans le roman, point de série!
Peut-être si je l'avais lu avant de l'avoir vu, mon opinion aurait été différente, pitête?
En tout cas, je ne suis pas allée au bout du pourtant petit Sex and the City book (commencé au début des huit heures de travail pré-accouchement) tandis que je dévore encore et sans cesse les six saisons de nos quatre héroïnes avec option rires, larmes et tout le toutim!
A vous de juger...
Et bientôt, la critique du film...